Avec la révolution industrielle, les technologies ont significativement évolué. L’avancée technologique est à l’origine de nombreuses innovations, de ce fait, il arrive parfois à l’homme d’être dépassé par la machine. C’est d’ailleurs le thème qu’aborde ce corpus, qui est constitué de 4 documents. Le premier est une illustration d’un poème de Victor Hugo dénonçant le travail des enfants, de 1880. Le second est issu du Roman Voyage au bout de la nuit écrit par Louis Ferdinand Céline et édité en 1932. Le troisième est un entretien, rédigé par A. Rapin paru en 1997. Le dernier document est un article de Jacques Marseille, intitulé les ratés de l’âge industriel publié en 2000 dans le magazine L’histoire. Nous pouvons donc nous demander si la machine est un fléau pour l’homme ? Ainsi, après avoir prouvé que ce corpus présente un paradoxe, nous évoquerons les contraintes qu’impose la machine à l’Homme et que celle-ci entraîne sa déshumanisation.

Tout d’abord, Jacques MARSEILLE précise que la révolution industrielle était sensée permettre le développement social et humain. Or, il s’est avéré que la machine est devenue un outil qui empêche l’homme de se réaliser. On constate alors le paradoxe entre le but initial de la mise en place du progrès technique et la conséquence inattendue de celui-ci qui n’est autre que le « sous-développement » de l’homme.
D’autrepart, le progrès technique ne présente pas que des mauvais cotés pour l’homme mais aussi pour son environnement. En effet, selon MARSEILLE et RAPHIN, l’industrie est vue comme une menace pour la terre, à cause de la pollution incessante qu’elle crée. La révolution industrielle s’est faite en continu et ses effets néfastes sont très bien mis en évidence par ce deux documents.

Ce paradoxe amène donc à de véritables questionnements sur le développement de l’Homme, sans sompter que ce phénomène est accentué pas des contraintes physiques et morales

Le travail aliénant est accentué par des conditions de