1. Selon vous, quels sont les éléments centraux qui ressortent de la lecture du chapitre 1 ?

Dans le chapitre 1 de son livre premier, Carl Marx nous présente la valeur de la marchandise, il présente la richesses des sociétés comme une immense accumulation de marchandises, où celle-ci sont présentées comme des produits capables de satisfaire nos besoins qu’il soit nécessaire comme la nutrition ou simplement pour satisfaire un plaisir ou besoins non nécessaire comme acheter de nouveaux habits par exemple.
Ces produits peuvent être considérer sous un double point de vue, la quantité et la qualité.
A ce titre la valeur d’échange d’après Marx, peux être comparée au prix de marché chez d’autre économiste comme Smith. La valeur d’usage quant à elle définie l’utilité qu’on donne a l’objet.
En termes de valeur d’usage, les marchandises sont avant tout de qualité différente et en termes de valeur d’échange elles ne peuvent être de différentes quantités.
De plus si on enlève la valeur d’usage il ne reste qu’une qualité à la marchandise, être produit du travail. C’est alors qu’une dépense de force humaine qui a été nécessaire et mis en œuvre, du travail humain qui est accumulé dans la marchandise. Il en découle donc qu’une quantité x d’un produit va être échangé contre une quantité y d’un autre produit.
Le rapport d’échange entre les marchandises va être déterminé par le travail accumulé dans chacune d’entre elles, c’est-à-dire la quantité et la durée du travail nécessaire à la production de la marchandise appelé « quantum » de travail ainsi qu’en raison de l’inverse de la force productive du travail qui se réalise en elle. En effet plus la marchandise va être facile à produire plus son prix va baisser et inversement.
En ce sens la quantité de valeur d’une marchandise peut varier avec chaque modification dans les conditions de fabrication, qu’elle soit de facteur humain, matériel, ou naturel.
En somme la substance de la valeur d’une marchandise est le travail mis en œuvre