La chandelle est en suif et la bougie en cire d’abeille avec une mèche de coton tressé.
Les matières premières utilisées comme combustibles sont donc différentes.
Les bougies de cire se développent avec l'apiculture mais ne sont utilisées que par les gens très riches.

Dans les villes, la haute bourgeoisie utilise la bougie de cire d’abeille et, vu le prix, le peuple, lui, continue de s’éclairer à la chandelle de suif.
Dans les campagnes, c'est toujours la lampe à huile primitive qui est utilisée.

Elles apparaissent vers 1860. Le pétrole, beaucoup plus fluide et inflammable que les huiles, va rapidement imposer sa simplicité d'utilisation.

En 1910 Georges Claude, un chimiste français, met au point des tubes électroluminescents puis des tubes néons fluorescents. Ce sont des tubes à vide remplis de gaz rare : le néon d'abord puis également l'argon, le krypton, le xénon et enfin l'hélium.

Le tube est mis sous tension électrique et le gaz contenu dans le tube est ionisé (il y a une perte d'électrons) ce qui provoque de petites décharges électriques qui créent de la lumière.

La capacité d'éclairage est élevée avec une faible puissance : de 11 à 15 watts seulement soit près de 10 fois moins qu'une lampe classique (100 watts)
La durée de vie est de près de 10 000 heures soit 10 fois plus qu'une classique 10 fois plus de vie, 10 fois moins de consommation. Voilà pourquoi on les appelle "économiques".

La durée de vie d'une lampe halogène est plus longue qu'une lampe à incandescence classique, la lumière émise est aussi plus blanche et donc plus efficace.
Les projecteurs halogènes sont souvent munis d'une vitre épaisse qui sert de protection mais aussi d'isolant thermique car une telle lampe peut atteindre les 2930 degrés Celsius.
Il faut éviter de toucher la lampe avec les doigts.

La consommation électrique de ce genre de lampe est divisée par 20 pour un éclairage équivalent. La durée de vie est de plus de 100 000 heures