tete de tuque
Tête de Tuque raconte le quotidien de trois adolescents, Sabrine, Darlyne et Chison. Ses trois jeunes du quartier Saint-Michel, fréquentent l’école secondaire Jospeh-François-Perrault. Ils sont tous nés au Québec, mais leurs parents sont immigrants. Ses adolescents dont une d’origine haïtienne, une arabe et un asiatique doivent mener un dur combat pour s’affirmer. Ce combat est mené contre la société québécoise et leurs parents qui font pression sur leur quête identitaire. La langue française n’est pas facile à apprendre. Elle est la plus grande barrière d’intégration sociale à laquelle les immigrants doivent faire faces. Elle est essentiel au fonctionnement de l’individu dans la société et certain parents n’arrivent pas à surmonter cet obstacle pour des fins économique. Leurs enfants deviennent alors leurs plus grands liens avec la société d’accueil. Les enfants parlent couramment le français. Cependant leur parent parle peu ou pas cette langue. Cela crée un problème de communication entre l’adolescent et ses parents. Leurs perception du Québec est différente. Ils y vivent ensemble mais en parallèle.
Les déclarations de ses jeunes sont émouvantes, vrais et révèlent un tout nouveau regard sur l’identité québécoise. Une étude d’un an est menée auprès de ces jeunes qui sont à la période critique de la recherche identitaire. Ses jeunes qui ont été élevé et éduquer dans la société québécoise, aimerais être reconnue comme citoyens québécois et non comme étrangers. Les enfants d’immigrant nés au Québec sont coincés entre leurs parents et