AbCdEfGhIjKlMnOpQrStUvWxYz aa aaaaaaaaaaa aaaaa aaaaaaaa aaaaa bbbbbbbbb bbbbbbbbbbbbbbcccccc

ccccccccccccccccddddddddddddddddddeeeeeeeeeeeeeeeeeeefffffff

ffffffffffffgggggggggggggggggghhhhhhh hhhhhh hhhh
On peut analyser cette scène au regard d'une construction dramatique classique, et la comparer en particulier aux scènes du théâtre de Marivaux qui rassemblent tous les personnages et permet le dénouement de l'intrigue, achève la pièce vers sa fin. La scène koltésienne obéit partiellement aux traditions classiques de la scène qui rassemble tous les personnages et qui, comme chez Marivaux, fait tomber les masques et révèle les véritables identités et sentiments. Ainsi, le véritable sauveur de Koch est désigné et reconnu comme tel.
Koch (désignant Abad) : « C'est lui, regardez, Monique ; il est trempé, comme moi ». Cette reconnaissance de Koch n'intervient qu'après de multiples échanges autour de l'identité du sauveur. On peut analyser cette scène au regard d'une construction dramatique classique, et la comparer en particulier aux scènes du théâtre de Marivaux qui rassemblent tous les personnages et permet le dénouement de l'intrigue, achève la pièce vers sa fin. La scène koltésienne obéit partiellement aux traditions classiques de la scène qui rassemble tous les personnages et qui, comme chez Marivaux, fait tomber les masques et révèle les véritables identités et sentiments. Ainsi, le véritable sauveur de Koch est désigné et reconnu comme tel.
Koch (désignant Abad) : « C'est lui, regardez, Monique ; il est trempé, comme moi ». Cette reconnaissance de Koch n'intervient qu'après de multiples échanges autour de l'identité du sauveur. AbCdEfGhIjKlMnOpQrStUvWxYz aa aaaaaaaaaaa aaaaa aaaaaaaa aaaaa bbbbbbbbb bbbbbbbbbbbbbbcccccc

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On peut analyser cette scène au regard d'une construction dramatique classique, et la comparer en particulier aux