The great irish famine
(La famine irlandaise)
Le règne de la reine Victoria a été marqué par ce que l’on peut considérer comme la dernière grande famine européenne qui eu lieu en Irlande de 1845 à 1849. Certains facteurs comme la gestion économique de l’Empire britannique et des méthodes agricoles rudimentaires ont amenés à une des plus grandes disettes du XIXème siècle. De plus, à l’époque, les cultures irlandaises sont majoritairement celles des céréales, et, de la pomme de terre qui nourrie les paysans qui la cultive. Cependant en 1845, ce qu’on appelle le mildiou (en anglais the « potato blight ») détruit les récoltes de pommes de terre et les stocks qui auraient permis de nourrir la population s’épuisent l’année suivante.
Les populations affamées se ruent sur les derniers stocks de pommes de terre.
Les landlords, grands propriétaires terriens qui contrôlent l’économie de l’Irlande expulsent les paysans affamés alors incapable de travailler et de payer leur loyer. Ces expulsions sont alors estimées à des dizaines de milliers. On retiendra surtout « the Ballinglass Incident » où des paysans pouvant pourtant payer leur taxe furent expulser par la police et l’armée sur la demande de leur propriétaire.
Policemen evict small farmers from their home during the Great Famine.
(La police expulse les paysans de leur maison Durant la famine irlandaise)
Des mesures gouvernementales tentent donc d’être mise en place par le premier ministre de l’époque Sir Robert Peel qui propose d’abolir une loi (the Corn Laws). Cette abrogation permettrait l’importation de céréales à bas prix pour nourrir l’Irlande. L’achat de Maïs américain répartit en plusieurs dépôts et injecté sur le marché au fur et à mesure selon l’évolution du cours aurait servit à ne pas faire augmenter les prix et éviter les révoltes sociales. Cependant, même le parti du premier ministre s’y oppose pour protéger les intérêts de l’aristocratie anglaise et le