Titres des autobiographies
Le Journal d‘Anne Frank ** A Amsterdam, le 12 juin 1942, Anne fête ses treize ans et commence son journal. Réfugiée avec sa famille dans une « annexe » pour échapper aux Allemands, deux ans durant, elle confie à son cahier ses vues sur le monde, ses ambitions, son amour pour Peter, ses craintes… (Le Livre de Poche, 318 pages). Le Journal de Zlata, Zlata Filipovic * Une jeune fille de Sarajevo écrit son journal en 1993, l‘année de ses 13 ans : elle raconte la guerre et ses horreurs. (Pocket, 198 pages).
Récits autobiographiques
La Gloire de mon père, Le Château de ma mère, Le Temps des secrets, Le Temps des amours, Marcel Pagnol *. L‘écrivain raconte son enfance et son adolescence au début du siècle en Provence. Enfance, Maxime Gorki ** Maxime Gorki raconte sa petite enfance, de 3 à 11 ans, depuis la mort de son père (son premier souvenir), jusqu'à la mort de sa mère. Ce récit est aussi un témoignage plein de sincérité sur la vie des petites gens russes de la fin du 19è siècle. (Folio, 375 p) C‘est moi qui souligne, Nina Berberova *** Nina Berberova s'affirme l'incomparable témoin des grandes convulsions de notre temps : elle décrit la Russie en proie aux premiers assauts de la Révolution, les affres de l'émigration, l'état de la France quand elle y vient et quand la guerre s'y installe, le spectacle que lui offrent les EtatsUnis à son arrivée… (Actes Sud, 621 pages).
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Enfance, Nathalie Sarraute* Il s'agit d'un dialogue entre Nathalie Sarraute et son double qui la met en garde, souligne ses scrupules, ses interrogations. On suit donc l'enfance de l'auteur, passée entre Paris, Ivanovo, Genève, Saint-Pétersbourg pour revenir à Paris. (Folio, 276 pages). Le Livre de ma mère, Albert Cohen ** Evocation d'une femme à la fois «quotidienne» et sublime, une mère, aujourd'hui morte, qui n'a vécu que pour son fils et par son fils. Ce livre d'un fils est aussi le livre de tous les fils. Et tout fils pleurant sa mère disparue y retrouvera les