Toute réflexion naît de quelque insurrection
< Toute réflexion naît de quelque insurrection >
Jean Duvignaud ( sociologue et écrivain, 1921-2007)
Au fil des siècles, les civilisations ont évolué, les connaissances ont avancé surtout ces derniers millénaires. Nous sommes de plus en plus sur terre avec des cultures différentes mais cela ne nous a jamais empêcher d'avancer. Il y a plusieurs facteur qui nous poussent à la réflexion. Jean Duvignaud, grand sociologue, écrivain, dramaturge, scénariste, essayiste, critique de théâtre et anthropologue dit < Toute réflexion naît de quelque insurrection >. Une réflexion n'a pas lieu d'être si tout va pour le mieux, il faut un éléments déclencheur pour pousser le genre humain à la réflexion selon Jean Duvignaud, des insurrections en sont souvent une conséquence. Les insurrections ne sont pas toujours les causes ni les conséquences de la réflexion même si elles sont souvent liée, il y a d'autres choses qui mènent à l'insurrection.
Le monde dans lequel nous vivons évolue sans cesse comme nos besoins et nos mentalités par exemple, mais il y a aussi des choses qui ne changent pas et qui, avec le temps, fini par déranger. Ce sont précisément de ces choses là que je vais vous parler. Restons dans l'actualité en parlant du printemps arabes et précisément dans la révolution tunisienne. Cela a vraiment commencé en décembre 2010 dans la ville de Sidi Bouzid par la révolution en Tunisie qui à mené au départ du président Ben Ali. Il a dirigé sont pays pendant 23 ans, l'économie de la Tunisie était excellente, elle a même été qualifier de première en termes de compétitivité économique en Afrique mais Ben Ali n'a pas respecté les droits de l'homme selon quelques organisations non gouvernemental et son régime fut également caractérisé