INTRODUCTION :

La première révolution industrielle à commencé en France en 1848 et s’est terminée en 1873. Durant celle-ci, l’industrie prend place en Europe. Des mines de charbon se voient exploitées de plus en plus. Cependant, la santé et le bien-être de l’ouvrier est négligé. Il devient alors « exploité » et travaille dans des conditions insalubres. Les accidents de travail dans les mines étaient fréquents. Les moyens de détection des maladies étaient quasi inexistants. Seuls les oiseaux étaient utilisés pour détecter les rejets de monoxyde de carbone. Les autres causes d’accident étaient multiples comme les infections pulmonaires, les coups de grisou, les explosions, les incendies, les éboulements...
La santé de l’ouvrier a dû être prise en compte. Petit à petit des lois se sont créées pour protéger l’ouvrier à l’insu du patron qui avait au paravent tous les droits. Comme en 1864 : le droit de grève devient légal. D’autres lois vont suivre comme celle sur la retraite ouvrière et les caisses maladies des mineurs en 1894 ou encore la création d’assurances contre les accidents du travail et les mettant à la charge du patron en 1898. Pour ce qu’il s’agit du bien-être de l’ouvrier, ce seront les avancées technologiques, la mécanisation et la robotisation qui assureront un effort moins soutenu physiquement et mentalement de celui-ci.
De nouvelles technologies sont apparues avec la création des centrales nucléaires. La première centrale nucléaire pour une utilisation civile en France a été créée en 1963 à Chinon en Indre-et-Loire. A partir de cette découverte, le salarié a été confronté à de nouveaux risques plus violents mais moins fréquents. Des tenues de travail ont étaient conçues pour réduire les risques de contamination de la radioactivité. Les maladies sont d’autant moins fréquentes car seule la radioactivité est à prendre en compte. Cependant, le cancer du sang (leucémie), des maladies dues à la radioactivité, des maladies causées sur le squelette