Mon grand-père est mort quand j'étais un petit garçon, et ma grand-mère a commencé a rester avec nous pendant environ six mois par ans. Elle vivait dans une chambre similaire au bureau de mon père, et que nous appelons "l'arrière-salle." Elle portait un arôme puissant. Je ne sais pas quel genre de parfum elle utilise, mais c'était une double barillet, 90, abattre, rends-la-victime-inconsciente, l'original variété de meurtre.
Elle l'a gardé dans un énorme atomiseur et l'applique fréquemment et généreusement. Il était presque impossible d'aller dans sa chambre et rester à respirer tout le temps. Quand elle a quitté la maison pour aller passer six mois avec ma tante Lillian, ma mère et ma sœur avait ouvert toutes les fenêtres, dépouiller la literie et les rideaux et les tapis, passer plusieurs jours à laver et les aérer choses, essayant frénétiquement pour rendre l'odeur piquante en aller. C'était donc ma grand-mère au moment de l'incident de pois. Il a eu lieu à l'Hôtel Biltmore, qui à mon huit-année-vieil esprit était à peu près l'endroit chic à manger dans tous les Providence. Ma grand-mère, ma mère et moi étions en train de déjeuner après une matinée passée au shopping. J'ai commandé un steak de Salisbury, confiant en sachant que sous ce nom de fantaisie était un bon vieux hamburger avec de la sauce. Lorsque ils l'ont mis sur la table, il a été accompagné par une plaque de pois. Je n'aime pas les pois. Je n'aimais pas les pois alors. J'ai toujours détesté les pois. C'est un mystère pour moi pourquoi quelqu'un voudrait volontairement manger des pois. J'ai jamais manger à la maison. Je ne les ai pas mangé dans les restaurants. Et je n'étais certainement pas sur le point de les manger maintenant. "Mangez tes petits pois" dit ma grand-mère. "Mère", a déclaré ma mère dans sa voix d'avertissement. "Il n'aime pas les petits pois. Laissez-le tranquille." Ma grand-mère n'a pas répondu, mais elle a obtenu que certains éclat à son œil et jeu sombre à sa mâchoire qui a