Traduction de sédition à capoue tite-live
« Huius certaminis fortuna et Faliscos » à « Q. Servilio collega ad Urbem relicto »
« Alors qu’ils faisaient une trêve, la chance de cette lutte força les Falisques à chercher à obtenir un traité au sénat et tourna les Latins qui déjà avaient rassemblé leurs troupes, de la guerre romaine à la guerre pélignienne.
Ainsi la renommée de la chose accomplie ne se tint pas dans les limites de L’Italie mais les Carthaginois aussi envoyèrent les légats à Rome pour la féliciter, avec le don d’une couronne d’or, afin qu’elle soit placée au Capitole dans le temple de Jupiter ; elle était d’un poids de vingt-cinq livres.
Les deux consul célébrèrent le triomphe contre les Samnites, Décius les suivait avec des louanges (une gloire) et des dons remarquables, étant donné que le nom du tribun n’était pas moins célébré que celui des consuls, dans les plaisanteries grossières des soldats.
Ensuite les habitants des Campaniens et des Suessulans furent écoutés et on leur accorda que fut envoyé une cargaison dans les quartiers d’hiver pour que les excursions de Samnites furent repoussées.
Déjà désormais très peu sain pour la discipline militaire, Capoue séduisit les esprits soldats par le moyen de tous les plaisirs, détourna du souvenir de la patrie, et dans les quartiers d’hiver on formait le projet d’enlever Capoue aux Campaniens par le même crime par lequel ceux-ci l’avaient enlevée aux premiers habitants.
Et ce serait bien mérité si leur propre exemple tournait vers eux, mais pourquoi les Campaniens auraient-ils la campagne la plus riche d’Italie, une ville digne de cette campagne eux qui ne pouvaient se défendre ni protéger leurs biens, l’armée victorieuse qui en avait chassé les Samnites au prix de la sueur et de son sang ?
Est-ce qu’il était juste que leurs sujets jouissent à leur aise de cette fécondité et cet agrément , tandis qu’eux-mêmes épuisés par le fait de servir l’armée (le service militaire) luttaient