travail ininteressant pas touche merci
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une vitesse phénoménal, non seulement a cause de son équipement, mais également a cause d'une blessure datée d'il y a quelques jours seulement. On raconte que Pradelle a une énorme fierté, il ne serait pas allé voir l'infirmière après s'être fait atteindre par une balle, enfin, peut-être aurait-il dû. Albert, lui, était en train de chercher quelque chose a faire, il ne pouvait pas partir, il devait rester avec ses défunts amis, malgré leur état... Pradelle avançait, encore et encore, Albert était a court d'idée ! Il essaya de prendre son arme, mais le lieutenant, en marchant, tira avec son arme, Albert tomba à terre, et eu beaucoup de mal a se relever, la balle avait atteint le bras, « pile au bon moment ! », aurait dit Louis Thérieux, ironiquement, comme il en avait l'habitude lorsqu'il racontait ses mésaventures quand il en avait l'occasion. Malheureusement, parler a ses amis ne sera plus une activité qu'il aura la chance de faire. Autour d'Albert, des soldats, morts ou vivants, quoi qu'il en soit, les français s'acharnait contre les allemands, qui eux, n'avait rien demandé, lorsque Louis et Gaston allait vers les tranchés allemandes, ils avaient uniquement entendu les coups de feux, seuls certains se dirent, que c'était probable que les français se révoltent pensant que c'était eux. Albert quant à lui avait une idée, il devait courir, il devait abandonner ses amis, il était impossible qu'il reste avec eux, ils étaient morts et ce serait du suicide de rester stable à un endroit dangereux. Il se fonda dans la masse de personne qui combattaient, ici, Pradelle, ne pourrais savoir qui
nce de si tôt. Péricourt, le seul conscient au courant de l'affaire scandaleuse de Pradelle, était encore au combat, il était peu intéressé de l'endroit où se trouvait le lieutenant, il voulait juste attendre qu'il pointe le bout de son nez pour qu'enfin il puisse lui régler son compte. Quelques jours plus tard, sept, que Berry avait compté,