triple autoportrait
1.La présentation de l’œuvre.
La liberté guidant le peuple est un tableau d’Eugène Delacroix. C’est une huile sur toile faite en 1830. Ce tableau est conservé au musée du Louvre à Lens. Il mesure 260x325 cm.
2. Une analyse descriptive.
Dans ce tableau je vois le peuple révolté, il y a de toutes les classes sociales. On peut voir une barricade faite de poutres, pavés et de cadavres. Au centre du tableau on peut observer une femme avec les seins nu ce qui est très rare à l’époque et elle tient dans la main gauche le drapeau de la France. Dans sa main droite on y voit une baillonette qui montre la révolte. Cette femme porte le bonnet phrygien symbole de la liberté. A côté de la femme, on voit un enfant des rues qui tient dans sa main un revolver et en bandouillère une cartouchière. Cette enfant a inspiré le personnage de Gavroche dans les misérables de Victor Hugo. A l’arrière-plan on aperçoit dans la poussière la cathédrale Notre Dame de Paris. C’est tableau construit en pyramide selon deux plans : figures horizontales à la base et verticales, gros plan faisant saillie sur le fond flou. Il porte la cocarde blanche des monarchistes et le nœud de ruban rouge des libéraux. C’est un ouvrier avec une banderole porte-sabre et un sabre des compagnies d’élite d’infanterie. L’habit tablier et pantalon à pont est celui d’un manufacturier.
Le foulard qui retient son pistolet sur son ventre évoque le mouchoir de Cholet, signe de ralliement de Charrette (commune française situé en Isère et dans la région Rhône Alpe) et des Vendéens. Au pied de la femme portant le drapeau on voit un homme au foulard noué sur la tête, Avec sa blouse bleue et sa ceinture de flanelle rouge de paysan, il est temporairement employé à Paris. Il saigne sur le pavé. Il se redresse à la vue de la Liberté. Le gilet bleu, l’écharpe rouge et sa chemise répondent aux couleurs du drapeau. Cet écho est une prouesse. Les soldats : Au premier plan, à gauche, le cadavre