Turquie et ue
Au XXI siècle aucun économiste sérieux ne peut affirmer que l’ouverture des marchés na pas augmenté de façon significative le niveau de vie global sur la planète. (Voir annexe PIB mondial) « Les données montrent qu’il y a un lien statistique indiscutable entre libéralisation du commerce et croissance économique. D’après la théorie économique, ce lien s’explique par de bonnes raisons. Tous les pays, y compris les plus pauvres, ont des ressources — humaines, industrielles, naturelles, financières — qu’ils peuvent exploiter pour produire des biens et des services destinés à être vendus sur le marché intérieur ou à l’étranger. »1
Un très grand nombre d’accords commerciaux a été conclu depuis la deuxième guerre mondiale. En juillet 2010, l’OMC comptait 474 accords commerciaux notifiés au GATT. D’ailleurs, parmi les plus récents on retrouve la Turquie qui a conclue 2 accords bilatéraux avec le Monte Negro en mars 2010 et avec la Serbie en août 2010.
Parmi les accords plus connus il y a l’ALÉNA (L’accord de libre- échange nord-américain) crée en 1989, le MERCOSUR (communauté économique des pays de l’Amérique du sud) en 1991, l’APEC (Coopération économique de la Zone Asie-Pacifique) en 1989, et bien sur l’Union Européenne en 1993.
Cette dernière est une des plus belles réussites en matière d’accords commerciaux. Aujourd’hui, l’union Européenne est une union économique, c'est-à-dire qu’elle intègre la libre circulation des marchandises, services, capitaux et personnes en plus de l’utilisation d’une monnaie commune. À l’intérieur de ce marché d’environ 490 millions de personnes il n’y a plus aucune barrière au commerce international. Cette alliance est unique au monde et florissante.
L’UE décrit sa mission comme suit : * garantir la paix; * consolider la réunification