Première partie : Un espace mondialisé
Chapitre 2 : D’autres logiques d’organisation de l’espace mondial

Introduction :
Double page 34-35, photo à gauche Photo d’un rassemblement altermondialiste dans le Larzac (Aveyron) en 2003 au moment du somment de l’OMC à Cancun.
Photo à droite Photo de manifestants de l’ONG (Organisation Non Gouvernementale) Greenpeace.
Favorables au train, hostiles à l’avion, outil essentiel de la mondialisation. Ces photos montrent que la mondialisation économique telle que nous l’avons décrite au chapitre précédent est contestée Pour ses conséquences sociales… un sommet des altermondialistes (ceux qui veulent une autre mondialisation) pensant que la mondialisation entraîne une régression sociale. Pour ses conséquences écologiques avec la mise en avant d’un contre modèle : le développement durable.
Les cartes aux pp. 36 et 41 montrent que malgré les processus d’intégration au niveau mondial, les facteurs de division demeurent : Maintien d’aires de civilisations et d’aires avec une influence religieuse Processus d’intégration économique à l’échelle régionale (UE, ALENA) pour créer des zones de libre échange et peser dans la concurrence face aux autres. L’UE espère rivaliser avec les Etats-Unis et l’Asie Orientale. Maintien d’instabilités, de conflits… Les hommes ne sont pas prêts à tous vivre ensemble.
Problématique : Quelles sont les limites de la mondialisation ? La mondialisation est-elle le seul processus d’intégration dépassant les frontières ?

I- Les limites de la mondialisation
A- le maintien du rôle des États
1- Les États contournés
Faire le lien avec ce qui a été vu dans le chapitre précédent sur les États en tant qu’acteurs de la mondialisation.
L’État est coincé entre 2 mouvements : Il est trop petit et trop contraignant pour la mondialisation… Il s’agit d’une mondialisation libérale qui avance avec la diminution du rôle de l’État en faveur des
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