Véra de l'Isle Adam
Il semble dans le déni caractéristique du deuil. Dans un premier temps, les sentiments du Comte semblent logiques et rationnels. Néanmoins, ce dernier se laisse porté par sa nostalgie, ce qui le fait dériver vers l'irréel. A présent le comte croit que sa femme est vivante. Cela a donc un impact sur sa perception qui devient instantanément méliorative. Cela se voit grâce aux adjectifs qualificatifs mélioratifs : “ces joies languides”(l.132). Par ailleurs nous apprenons que Raymond, son serviteur rentre dans son jeu, donc nous changeons de point de vue qui devient maintenant omniscient : “s’était ingénié si bien à être naturel”(l.106), "bientôt il lui fallut plus d’une réflexion pour se convaincre et se …afficher plus de contenu…
Ce temps permet de jouer sur la temporalité qui va ralentir afin de mieux décrire la situation. Tout cela est donc irréel et en vient même à être surnaturel.N'hésitez pas à lire la sous-partie d’Azreen qui est un modèle de précision ! En premier lieu, nous verrons de quelle manière l’auteur nous prouve que l’explication à cette histoire mystérieuse est surnaturelle.Tout d’abord, on voit que Villiers de L’Isle Adam tente de nous plonger dans une atmosphère surnaturelle en nous introduisant une phrase qui suscitera plus une sensation d’étrange que de naturel, comme indiqué à la ligne 26 à 27 : “Pourquoi ceci?... A coup sûr d’après quelque résolution mystérieuse de ne plus revenir”. En effet, l’auteur se sert d’une question rhétorique pour que le lecteur s’interroge sur