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Le nu
Apollon du Belvédère, Rome, musée du Vatican, cour du Belvédère, marbre.
Jusqu’en 1850, figurait parmi la demi-douzaine des plus grandes œuvres d’art du monde.
Authenticité comme statue grecque.
Nu : cœur de la représentation fondamentale, lien entre macrocosme et microcosme. Tous les artistes commençaient avec l’étude des os et des muscles. Connaissance quasi-médicale du corps humain.
Salvage, Anatomie du Gladiateur combattant.
Léonard de Vinci, L’homme de Vitruve. Evocation de l’équilibre parfait de l’être humain. L’homme entre parfaitement dans le cercle autour de lui.
Dürer réalisa une enquête sur les proportions du corps humain. Néo-classicisme= recherche de l’idéal. Il a voulu dresser un inventaire de la réalité, ce qui le place dans une perspective anticlassique.
Ce canon de proportion n’appartient pas au Grecs mais aux Égyptiens. Dürer à une vision beaucoup plus attaché à la réalité.
Schadow va traquer les différences qu’il existe entre les êtres humains.
La méthode de travail est telle que les artistes vont commencer les tableaux en dessinant les personnages nus avec une musculature très détaillée. David, le serment de jeu de paume. Et Ingres, Jésus parmi les docteurs. Structure absolument symétrique avec la mise au carreau et le travail du nu. Traitement néo-classique par excellence.
Dans Chaudet, Œdipe enfant, rappelé à la vie par le berger Phorbas, le nu met en valeur le contraste la force et la fragilité du sujet.
Autre travail de perfection de Ingres, La baigneuse va poursuivre un idéal féminin très typé morphologiquement (orientalisme). Pas de caractérisation psychologique mais pureté du corps. Obsession revenue après avec les bains turcs et l’odalisque. L’auteur se permet des licences personnels pour atteindre un idéal subjectif qu’il conçoit.
La critique contemporaine va exprimer un haut le cœur de représentation de nu.
Les romantiques vont s’emparer du costume moderne. Géricault,