Verlaine, Je ne sais pourquoi
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« Je ne sais pourquoi » de Verlaine
Tableau-synthèse
Déduction
Repérage des illustrations
Interprétation
Idées principales et thèmes
Procédés d’écriture
Preuves textuelles
Explication de l’illustration
Dualité de Verlaine
Verlaine vit des émotions mitigées. Ses désirs sont opposés, d’un côté il cherche la liberté et de l’autre la stabilité. Cette opposition l’amène à vivre des émotions compliquées. Il ne réussit pas à être simplement heureux, il vit joie et peine à la fois. Sa pensée en vient donc à être perturbée et torturée.
Champs lexicaux
Ivresse :
« Ivre de soleil » (v. 12), « Puis au gré du vent se livre et flotte » (v. 20), « Doucement la porte en un tiède demi-sommeil » (v. 17)
Dualité émotive :
Les champs lexicaux de l’ivresse et de la tristesse mettent en évidence la dualité que le poète vit. Il semble jongler entre l’amour, l’ivresse, la passion, la douleur, l’amertume, le désespoir et la culpabilité.
Tristesse :
« Mon esprit amer » (v. 2),
« Mouette à l’essor mélancolique » (v. 7),
« Parfois si tristement elle crie » (v. 18)
Adverbes
« Doucement » (v. 17),
« tristement » (v. 18)
Verbes
Mouvement :
« vole » (v. 3), « couve » (v. 6)
Sensations contraires :
Le verbe voler exprime la liberté, le mouvement tandis que le verbe couver exprime la responsabilité et l’immobilité. Cette opposition fait ressortir la contradiction des désirs de l’auteur.
Vocabulaire connotatif (sens)
Toucher :
« tiède »
« flotte »
« meurtri »
Sens de l’opposition :
Les mots tièdes et flotte sont reliés à des sensations agréables et de légèreté. Le mot meurtri représente la douleur. Cette opposition illustre la confusion de Verlaine. Il n’arrive pas à vivre des émotions agréables sans en vivre de désagréable.
Vue : « vermeil »
Ouïe :
« crie »
Vocabulaire connotatif
Instabilité