verlaine
Tout d'abord, nous apercevons que ce poème est consacré à l'évocation des paysages. En effet, Verlaine établit une description très précise de « Malines » avec un champ lexical de la nature qui est formulé de manière très explicite avec « les prés » (v.5), répété trois fois, « les arbres » (v.6), les « frênes » (v.7) ou enfin « prairies » (v.9). De plus, le relevé « Blanc gazons » (v.10) et « Sahara » (v.9) désigne un paysage d'été, sous le soleil très chaud qui installe la scène dans l’irréalité. En outre, les couleurs sont également omniprésente, Verlaine parle de « Rouge de brique et bleu d'ardoise » (v.4) ou bien de « cieux à peine irisés » (v.15). De plus, l'auteur utilise implicitement des expressions qui contiennent également l'idée de couleurs. Notamment dans les « prés » (v.5) qui donnent l'idée de verdure. Ensuite, Verlaine décrit un tableau qui se caractérise également par son aspect vague et en même temps infini. Par exemple, les relevés, « vagues frondaisons » (v.7) et « les prés sans fin » (v.5) confirme cette opinion. Cela est aussi rendu par les sons doux du poème . En autre, avec les assonances en /é/ comme « échevin » (v.3) et « apaisé » (v.12).
Enfin, tous les paysages sont décris avec bienveillances. Notamment dans la connotation... [à continuer]