Verlaine
Dernier oral : « Charleroi » p 173
-avec « Walcourt » ce sont les deux poèmes en 4 syllabes, vers rare
-ce sont deux villes étapes dans le voyage du poète avec Rimbaud
PBQ=une poétique du vertige
PLAN= 1) strophe 1 2) strophes 2 à 6 3) dernière strophe (retour de la 1ère)
-le poème situé p153 a aussi sa dernière strophe identique à la 1ère
-Charleroi=ville industrielle mais « herbe », ttefois « noire »…
-rimes embrassées
-pourquoi la présence des Kobolds dans ce poème ? (=lutin malicieux des légendes germaniques qui a pour tache de garder les trésors souterrains. Dans ce texte, ils veillent sur les mines de charbon.)
-S2= question brisant le rythme
-naturel mêlé à l’industriel : « herbe, vent, avoine, buisson »≠ « forges, gares », le bruit.
-confusion des sens, des espaces=délire sensoriel
-impression hachée, sans référent
-poème associé au tableau de la gare St-Lazare de Monet :
[pic]
-S4=usage systématique du pluriel
-le « on »= y a-t-il qqun derrière ? c’est tout le monde et personne à la fois
-mouvement d’un train en arrière-plan de ce poème : impression de voyage, de déplacement
Reprise
-poème pré-impressionniste
-peinture et musique s’allient ici
-influence de Baudelaire dans ce poème, présence de thèmes baudelairiens, les Kobolds=univers industriel
-tout se défait au fur et à mesure
-on n’est pas dans l’univers de la conquête
-épigraphe p136=ironique, n’apporte rien au pt de vue précision, « vieilles estampes » mais forme des 2 poèmes extrêmement moderne=jeu riche
-un des poèmes les plus sombres des