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« Assez bonne blague, assez bonne blague, » dit aimablement Buliard. Il frappa soudainement l’étranger sur ses genoux . « Dis, tu n’es pas fait de plastique n’est-ce pas ? J’avais éradiqué tout ce qui est en plastique ici , et pour autant que je sache, c’est ton domaine. »
« Mon domaine ? » dit brusquement l’étranger, déposant son livre. « Désolé, je n’ai jamais eu de domaine.
J’ai été un vagabon depuis l’âge de neuf ans, depuis qu’Edison installa son laboiratoire à côté de chez moi, et me montra l’analyseur d’intelligence. »
« Edison ? » dit Bullard. « Thomas Edison, l’inventeur ? »
« Si tu veux l’appeler de cette façon, vas-y, » dit l’étranger.
« Si je veux l’appeler de cette façon ? » - Bullard s’esclaffa – « Je suppose que je pourrais simplement ! Le père de l’ampoule - et je connais tout ce qu’il a fait - . »
« Si tu veux penser qu’il a inventer l’ampoule, vas-y. Aucun de mal à ça ! » L’étranger reprit sa lecture.
« Dis moi ce dont il s’agit ! » dit Bullard, d’un air soupçonneux. « Tu me fait marcher ? Qu’est ce que cela aurait à voir avec un analyseur d’intelligence ? Je n’ai jamais entendu parlé de ça . »
« Bien sur que non, » dit l’étranger. « M Edison et moi avons promis de garder cela secret. Je n’en ai jamais parlé à personne. M Edison n’a pas tenu sa promesse et en a parlé à Henry Ford, mais Ford lui a fait promettre de n’en parler à personne d’autre- pour le bien de l’humanité. »
Bullard était ravi . « Oh, cet analyseur d’intelligence, » dit-il, « il a analysé l’intelligence n’est ce pas ? »
« C’était une baratte à beurre électrique », dit l’étrangé.
« Vraiment, allons ! » dit Bullard