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** : 2ème médiation métaphysique de Descartes
Les droits et les devoirs confèrent à un sujet singulier (individu, moi), une responsabilité.
Cette responsabilité serait impossible sans une relation + ou – réglementée avec autrui.
D'autres hommes comme nous habitent le même monde au sein duquel nous construisons un monde commun. Les autres ne doivent pas être de simples individus mais des personnes dignes d'égard et de respect. Le sujet est un être désirant, pensant, il conduit son existence.
Etre sujet de ses pensées : c'est chercher à maîtriser la matière et la soumettre à notre reflexion, contrôler nos pensées et s'astreindre à les inscrire dans la réalité.
** : Traité sur la Tolérance de Voltaire
Traiter quelqu'un de sujet : 1) Signifier → vouloir être son maître 2) vouloir lui accorder la liberté et la dignité auquel il a droit (sujet moral)
Rien ne manifeste mieux l'ambivalence permanente du sujet que l'analyse des questions existantes et temporelles. Il existe une problématique relative à l'existence :
Exister signifie à la fois être soi et ne pas l'être ?
→ Ce qui ne peut être qu'un sujet conscient.
Pouvoir s'inscrire dans le temps, c'est être là et ne pas y être ; la capacité à se rapporter à quelque chose qui n'est pas là. Le temps est considéré à la fois comme signe de fignitude (mortalité) et comme puissance d'actions d'hommes sur le réel. Nous sommes toujours sujets dans un double sens :
-positivement : On a un pouvoir de conscience, d'activité, d'autonomie, de contrôle et de résistance au réel.
-négativement : Ses diverses capacités sont les limites, le sujet ne contrôle pas tout. Les relations avec autrui sont ambiguës.
L'inconscient ne se contrôle pas, car il s'agit de forces qui nous échappe. Il peut entraîner des pensées et des actions à notre inssue.
La sagesse, elle, consiste peut être à accorder sa juste part à cette activité dont nous sommes tous capables sans être dominer par ce que nous sommes vraiment.