Victor hugo: la peine de mort
1-La peine de mort
C'est le plus grand, le plus long, le plus constant combat de HUGO.
Au cours de son enfance, HUGO fut «traumatiser» par la violence de l’être humain, on le voit à travers ses écrits ainsi que ses combats politiques.
Le dernier jour d'un condamnée: le début d'un combat Victor HUGO publie en 1829 «le dernier jour d'un condamné», c'est un ouvrage écrit sous forme de journal qui parle des sentiments intérieur d'un homme. Il fut publier la première fois en 1829 sans nom d'auteur puis 3 ans plus tard le 15 Mars 1832 cette fois-ci signé de Victor HUGO.
CLAUDE GUEUX
Une autre œuvre de HUGO traite du thème de la peine de mort comme «Han d'Islande» en 1823 dans lequel il parle de ses réflexions sur la peine de mort .
La politique
Pour HUGO, tous est bon pour lutter contre la peine de mort: lettres, articles, romans, discours, préfaces, interventions publiques...Pour lui, la peine de mort équivaut à un meurtre.Pour défendre cette cause, HUGO c'est basé sur l'abus de pouvoir, l’erreur judiciaire et le sort de la famille du condamnée, il juge que la société n'a pas le droit de punir un homme, mais à Dieu.
Il cite: «On peut avoir une certaine indifférence sur la peine de mort, ne point se prononcer, dire oui et non, tant qu'on a pas vu de ses yeux une guillotine»
La peinture
Victor Hugo dessine dans les années 1850 Le pendu.
Son œuvre met en évidence le gibet, qui ici a une fonction symbolique. Les couleurs sombres qui sont utilisées, le noir et le gris dominent dans cette image. Le contraste avec le corps blanc du pendu montre une volonté de l’humilier. Sa représentation est assez violente, on peut apercevoir les côtes du mort, ses mains sont liées et son visage est flouté, comme le reste de l’image.
Donc le pendu n’est pas identifiable. Le fait que le pendu et son gibet soient mis en avant dans cette illustration donne une impression d’abandon.
L’auteur exprime son dégoût pour