vivre sans art
X. L'ENNEMI LIX.SPLEEN
1 Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage, Pluviôse irrité contre la ville entière
Traversé çà et là par de brillants soleils ; De son urne à grand flots verse un froid ténébreux
Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage, Aux pâles habitants du voisin cimetière
Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils. Et la mortalité sur les faubourgs brumeux. Voilà que j'ai touché l'automne des idées, Mon chat sur le carreau cherchant une litière
Et qu'il faut employer la pelle et les râteaux Agite sans repos son corps maigre et galeux ;
Pour rassembler à neuf les terres inondées,