Vivre seul dans les bois

1315 mots 6 pages
Pour quelles raisons voudrais-je vivre au fond des bois ?
« J'en ai marre de voir les gens se plaindre sans arrêt, j'en ai marre de voir les gens prendre les choses à la légère ou à l'opposé trop au sérieux, j'en ai marre que les gens ne sachent pas se séparer de concepts, de préjugés, j'en ai marre d'allumer la télé pour regarder le journal télévisé et de voir qu'il y a neuf problèmes évoqués et une seule bonne nouvelle ! Qu'est ce que la vie? Un effort de conformisme? Un désir inassouvi de ressembler aux autres, de faire pareil? » Si l’on ressent le désir de s’exiler seul dans la nature, c’est que soit des choses nous ennuient et on en a raz le bol (comme ci-dessus), soit on éprouve un manque là où on vie et on veut le combler en partant autre part (la forêt en l’occurrence.)
Il y a sans nul doute de très nombreuses choses qui nous énervent dans la vie et on se dit parfois qu’on aurait intérêt à tout plaquer, à faire ses valises…

- Ce sont souvent les gens qui nous tapent sur le système, parce que de nos jours, on est bien obligé d’en côtoyer. Il y en a certains que l’on ne peut pas sentir (ils nous stressent), d’autres ont toujours l’air plus heureux et ça nous rend jaloux. Si les gens nous énervent quelque fois, c’est parce qu’ils nous semblent tellement différents de nous-même et ce souvent par leurs façons de penser. On est habitué à voir les choses dans un certain angle et quand les autres ne le font pas, on est parfois révolté, en colère contre cette personne qui a fait ou dit ce que vous trouviez impensable. Nous éprouvons alors du désespoir, comme s’il n’y avait plus rien à faire pour l’homme, et parfois même du dégoût. On se sent différent, et meilleur que tout le monde, mais nous avons tord car on peut se dire que les gens ont juste des hauts et des bas, aucun n’est parfait et même celui qui râle contre son prochain décevra un jour quelqu’un d’autre qui se plaindra à son tour. C’est d’ailleurs dans ces moments là que l’on reconsidère l’homme car

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