Cet extrait débute par "il y avait" qui est un élément de conte traditionnel ce qui traduit le conte. Cependant nous avons une précision de lieu, celui de la Westphalie qui est un lieu réel mais contrairement à ce que Voltaire nous dit, ce n'est pas un pays qui fait rêver. Le château est un élément du conte mais on remarque qu'içi le château Thunder ten Tronckh n'est qu'en fait qu'une simple maison puisqu'il nous est décrit "avec une porte et des fenétres" Ce que toute maison posséde. Nous avons dons içi une hyperbole. On s'attend à quelque orné d'or mais enfait ce n'est que de la tapisserie : " Sa grand salle même était ornée de tapisserie". Dans cet extrait Voltaire se moque du château Thunder ten Tronckh de M. le Baron tout en le décrivant. C'est donc un château trés modeste.
Le narrateur effectu la satire de la noblesse à travers les personnages du baron, décrit ironiquement comme étant : " L'un des plus puissant seigneur" et " le plus grand baron de la région", et de la baronne décrite ironiquement comme " respectable et la meilleure des baronnes possibles." Il critique le conservatisme de la noblesse lorsqu'il précise que la mére de Candide : "ne voulut jamais épouser parce qu'il n'avait pu prouver que soixante et onze quartiers et que le reste de son arbre généalogique avait été perdu par l'injure du temps". Il insinue içi que dans la haute société les mariages ne sont que arrangés, qu'il n'y a pas d'amour, pas de bonheur. La noblesse est