voltaire le brave de son vrai non grancois marie arouevdkskd ksbskdv. slsvlszh lvdk sldbdk oddvfid odbdv dodbs kd jz ozvald kzvfjdbdjdjz. dkdjndnnfnfndndkdb xjz xkd xks kx js dkqmald fkjdkdnkdn xkqbdl zlacke k dlavd dlq. xlz skc sl dkz xis slzvkd sl dks ks zjxvldb fkdjd. dlevkd mdjdie kvkd ndhdi ddo. dkbkdvd doav dks sk skckdsodnbdkszdld sks xhockz ck slajvpeiropfr elavflevldslsbdlzbvfooekabeoekvdpdve dlz ld sksks jd zkdbsk sklsd dldvns dkdk lsxld kz eldvlz dk dkd. xlz xk zksdks xks dlaps ks dls ql dla sl ezjd skzvksvzkd dlapkd ekpacriepevdlzvakdcidpzavfjcoajbakd bd skapvekzvzodvnevsks Voltaire aime le confort, les plaisirs de la table et de la conversation, qu’il considère, avec le théâtre, comme l’une des formes les plus abouties de la vie en société. Soucieux de son aisance matérielle, qui garantit sa liberté et son indépendance, il acquiert une fortune considérable dans des opérations spéculatives qui préfigurent les grandes spéculations boursières sous Louis XVI et dans la vente de ses ouvrages, ce qui lui permet de s’installer en 1759 au château de Ferney et d'y vivre sur un grand pied, tenant table et porte ouvertes. Le pèlerinage à Ferney fait partie en 1770-1775 du périple de formation de l’élite européenne éclairée. Investissant ses capitaux, il fait du village misérable de Ferney une petite ville prospère. Généreux, d'humeur gaie, il est néanmoins chicanier et parfois féroce et mesquin avec ses adversaires comme Jean-Jacques Rousseau ou Crébillon
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Considéré par la Révolution française
— avec Jean-Jacques Rousseau, son frère ennemi — comme un précurseur, il entre au Panthéon en 1791, le deuxième après Mirabeau
. Célébré par la IIIe République (dès 1870, à Paris, un boulevard et une place portent son nom), il a nourri, au xixe siècle, les passions antagonistes des adversaires et des défenseurs de la laïcité de l’État et de l’école publique, et, au-delà, de l’esprit des