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La conscience , l’inconscient, le désir, autrui, l’art, la religion, la liberté, la société, le devoir et le bonheur
Introduction
Freud est l’inventeur de la psychanalyse qui écrit cet ouvrage en 1930, plutôt à la fin de sa vie. Freud est le grand théoricien de l’inconscient psychique (Marx, inconscient matériel, Nietzsche, inconscient corporel ou instinctuel)
Contexte historique : crise mondiale, économique, politique, prélude de la Seconde Guerre Mondiale
Analyse du titre : livre tout d’abord intitulé « Le Bonheur et la Culture », puis il a changé pour « Le malheur dans la culture » puis il choisit le titre actuel. Le malaise évoque une sensation pénible et vague et d’autant plus pénible que vague. Sentiment de déplaisir continu, indétermination qui tranche avec le côté blanc/noir du bonheur et du malheur. Et ce titre raisonne à la foi comme un constat, il y a du malaise dans la culture et comme n diagnostique potentiel, il y a un malaise de la culture. Le terme allemand de Kultur pose un problème de définition et de traduction car il contient la double charge de la culture et de la civilisation.
Culture -> Nature/sauvage
KULTUR
Civilisation -> Barbarie
Idée d’organicité dans la culture alors que la civilisation a une idée d’artificialité (plan établit sur la raison). Dans l’idée de civilisation, idée d’artifice (technique), on peut quasi civiliser de force. Alors que du côté de la culture, il faut juste apporter ce qu’il faut et ça « pousse ». Freud dit que cette distinction ne l’intéresse pas et choisit une définition toute simple : pour lui, la culture désigne l’ensemble des processus par lesquels « la vie humaine s’est élevée au dessus de ses conditions animales ». Le déterminant « le » est important car il y a UN malaise cerné, alors s’il n’est plus présent, cela réduit l’ouvrage à une simple évocation. Freud cherche à déterminer cette catégorie en contraste avec le