La traversée fut un cauchemar de temps en temps éclairé depuis moments de splendeur rare. Nous dépassâmes les Açores, jouets flottants sur lesquels autres giocattolini apparaissaient à la forme de maisons et de moulins au vent. Pas dès qu'ils s'évanouirent sous le rideau de l'horizon, un orage terrible se découragea sur nous. Comment rats en piège il touchait y rester sous le pont, nos vies confiées aux mains inconnues. Je dois avouer que j'étais terrorisé, et à l'égal de moi, beaucoup d'autres camarades qu'ils voyageaient aussi en troisième classe. Nous entendions tout le poids de notre impuissance. Le paquebot faisait une embardée sans cesse. Pour dîner ils servaient y plats de soupe pour rien alléchant, qu'elle était battue devant nous grossièrement, après avoir peut-être accompli quel pérégrinations. Mais la faim il n'était pas certain le premier de nos pensées pendant cet orage terrible. Pour ce peu qui y était donné de remarquer des violent tu vaporises d'eau contre les hublots, on était en train de déchaîner dehors la fureur des éléments. Un homme, pris par anxiété insoutenable, peut-être dans l'excitation de chercher une voie possible de sortie, il desserra le hublot et il se montra dehors. À l'instant un violent je jette d'eau luisante il se déversa à l'intérieur. Deux matelots se précipitèrent vers de lui en souhaitant furieusement. L'homme les vit et il se mit à protester. Les deux braillait. L'homme chassa hors un couteau. Autres se firent pour les diviser autour. Et hors le fracas des flots il faisait au fond sonore à la cohue incroyable. Et nous jouâmes là avec un de nos passe-temps préférés: regarder les poissons. Quelques-uns de nous criaient, "les poissons!" "Où? Où?" Et tous nous nous précipitions vers ce point. Avec la bouche grand ouverte à ballants vers le bas, nous restions observer les acrobaties gaies des dauphins étincelants qu'ils escortaient le paquebot. Parfois ils nous suivaient pour milles et milles et ainsi pour beaucoup d'heures nous