Zadig
Ituriel va voir, un jour, Babouc et lui dit d’aller à Persépolis pour lui rendre un rapport (pour la châtier ou la détruire car selon ituriel « les folies et les excès des perses ont attirés leurs colères. Il partit avec ses serviteurs en chameau. Il rencontre l’armée perse (qui allait combattre l’armée indienne) et demande à un jeune soldat pourquoi il se bat. Celui-ci ne peut pas lui répondre et lui dit même que l’armée indienne récompenser plus ses soldats et qu’ils pourraient passer dans les camps adverse. Il va voir leur capitaine, il ne sait pas non plus le sujet de la guerre. Seul les Satrapes (gouverneur d’une province dans l’ancienne perse)le savent. Un général lui expliqua que c’était à cause de querelles entre les maitres et les ministres (de chaque partie). Les ministres avaient élevés les droits de leurs maitres. Le lendemain, la paix fut déclarée malgré l’horreur que vit babouc. Il fut stupéfait des temples ou le peuple appelé la divinité et enterré ses corps. Il pense que les anges la détruiront Persépolis pour la reconstruire d’une meilleure manière. Il le comprend cependant (« la providence peut avoir ses raisons »). Alors qu’il ne voyait pas l’utilité de détruire cette ville (« ville charmante »), lors du diné, il vit la dame qui l’accueillait, alors qu’elle était marié être attiré par un jeune mage. Il conclut que la vengeance, la discorde, la jalousie devait dominer et qu’une telle ville ne pouvait subsister. Ensuite, il se demanda pourquoi un jeune homme pouvait juger contrairement à un vieillard. Il fut très surprit. Puis, il fut « réconcilié » avec la ville (fête publique ou il versa quelques larmes...). Alors qu’il critiqua la malhonnêteté d’un marchand (qui l’aurait trompé sur ce qu’il a acheté), celui-ci le remboursa. Il décida de rendre visite à un collège de mages(certains étudiés la sagesse, d’autres la religion), il reçut des mémoires qui, selon lui, méritait la destruction de la société