zazie dans le metro
Zazie débarque en gare d’Austerlitz avec sa mère, Jeanne Lalochère. Cette dernière, venue à Paris pour rejoindre son « jules » (p. 10), confie sa fille pour deux jours à son frère Gabriel. La fillette voudrait prendre le métro, mais il y a une grève. Ils visitent alors Paris à bord du taxi d’un ami de Gabriel, Charles. Cette balade touristique n’intéresse pas Zazie qui n’a qu’une idée en tête : voir le métro.
Chapitre 2
Ils arrivent à l’appartement de Gabriel, au bas duquel se trouve un bistro, La Cave, où travaillent Mado Ptits-pieds, la serveuse, Turandot, le patron, et son perroquet, Laverdure.
Zazie dine puis va se coucher. Gabriel discute avec sa femme, Marceline, du programme de la journée du lendemain, tout en se faisant une manucure.
Chapitre 3
Le lendemain, Zazie explore l’appartement et découvre les « vécés » (p. 31) avec joie. Dans la rue, elle tombe sur Turandot, qui l’empoigne. Elle hurle et attire l’attention des badauds, qui prennent Turandot pour un satyre (un individu voyeur, exhibitionniste et pervers). Celui-ci s’éclipse et informe Marceline de la disparition de Zazie. Gabriel part à la recherche de sa nièce et est arrêté par Gridoux, le cordonnier, qui prétend, alors qu’il l’ignore, savoir où est Zazie.
Gabriel retourne se coucher.
Chapitre 4
Partie à la découverte de la ville, Zazie pleure devant une bouche de métro fermée. Un homme, qu’elle prend pour un satyre, s’arrête et l’interroge sur la nature de son chagrin. Il l’invite dans un restaurant où ils discutent de la mort du père de Zazie.
Chapitre 5
Le type pose beaucoup de questions, ce qui embête Zazie. Elle prend la fuite, mais il la rattrape.
Zazie se rend compte qu’il s’agit d’un « vrai flic » (p. 58). À l’appartement, l’homme prétend être un pauvre forain du nom de Pédro-surplus. Accusant Gabriel de vivre de la prostitution de petites filles, ce dernier révèle qu’il est danseuse de charme
Chapitre 6
Épiant leur conversation, Zazie entend le type