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A travers ces textes nous nous demanderons en quoi l’emploi du point de vue interne contribue-t-il à l’intensité dramatique de ces scènes.
Tout d’abord dans ces quatre extrais les héros sont confrontés à la mort. Dans le premier extrait Dumas raconte le combat qui oppose une tigresse au comte Horace de Beuzeval. Cependant dans cet extrait nous ne sommes pas en point de vue interne. Dans le deuxième texte de ce corpus écrit par Zola nous assistons à la mort du soldat Rochas. Dans la Condition Humaine de Malraux nous suivons le fil des pensées du révolutionnaire communiste Kyo qui vont le pousser au suicide. Alors que dans le dernier extrait un Balcon en Forêt de Julien Gracq, on à accès aux pensées du capitaine Grange qui est blessé.
Lors d’un moment épique ou émouvant le point de vue interne contribue à intensifier les émotions et les pansées du personnage de sorte que le lecteur soit complétement identifié. Ce point de vue permet donc de dramatiser la scène.
Comme on peut le constater dans le premier extrait le point de vue est externe, on n’assiste pas à la scène ce faisant nous somme détaché de l’action. Nous ne connaissons rien des sentiments du compte et fait de faire planer le suspense sur l’issue du combat ne permet pas d’instaurer une intensité dramatique.
A contrario dans les trois autres extraits le point de vue interne nous permet de comprendre leurs motivations au bord de la mort.
Dans l’extrait de la Débâcle, nous comprenons pourquoi le soldat Rochas cherche à détruire le drapeaux français au péril de sa vie ou pourquoi le capitaine Grange reste au sol après avoir été touché. Le fait