Zlatan
Les quatres texte ont des points commun . Ce sont tous des sonnets , c'est à dire des pèmes qui comportement deux quatrains et deux tercets deux tercets;De plus les auteurs font référence a une muse . En effet on vois dans le texte de Du Bellay « les muses de moi comme étrange s'enfuit » , dans le texte de Malherbe « il n'est rien de si beau comme caliste est belle ».On peut le voir également dans les deux autres poèmes , Baudelaire dit « ma pauvre muse » et Appolinaire dit « mon très cher amour » référence a sa muse qu'il aime.
Tout cela montre que les poèmes ont despoints communs .
Ils ont aussi des différences .
Du Bellay nous parle, de la déception que lui a inspiré la ville de Rome. Il parle de ses « Muses » et non pas d' une femme en particulier, . A l'inverse , Malherbe le portrait d'une femme en particulier : Caliste, qui est magnifique on peut le voir au premier vers de son poème « il n'est rien de si beau que Caliste est belle » . Baudelaire fait donc de nombreuses références à la culture antique. Il décrit une de ses muses, qui elle est horrifiée, folle et froide, et donc son manque d'inspiration. Enfin, Appolinaire parle de son « très cher amour », mais il désigne en fait son œuvre, qui pour lui est une trace de son passage dans le monde.
Nous pouvons remarquer que les poèmes de du Bellay et Baudelaire sont tous deux " négatifs ". Les deux premiers quatrains de du Bellay font référence au passé. Son poème commence par le mot « Las », mot qui sonne ici comme un soupir, par sa prononciation, mais surtout par son