A rebours huysmans - notice
Dans l’incipit, il y a une description des ancêtres vers le personnage principal . Nous avons un linéarité de la lecture sauf que celle-ci est brouillée. L’entrée est marquée par le vide : L’objet lacunaire. Nous passons « d’athlétiques soudards » à « d’efféminés décadents ». Le premier paragraphe est marqué par la figure du plein. Il ressemble à des portrait narré normalement. Le texte imite : la mimesis. La narration se donne la reproduction de personnages existants. On observe des références aux traces attestant l’existence de cette famille. La mimesis utilise deja une reproduction : ici les tableaux. La mimesis est toujours une « illusion référencielle » (Riffarene). Barthes commente un Cœur Simple, il étudie la maison et plus précisement un barometre qui ne sert à rien, il crée juste l’illusion de réalité. Les details porte l’effet de réalité.
Les « Moustaches en Yatagan » sont un signe. Un signe est compré de deux parties : un signifient (son/graphie) et d’un signifié (sens). Les moustaches en Yatagan sorte du cadre et du cadre narratif donc les moustaches en yatagans sont un signifiant. Nous avons affaire à une métalepse (Quelque chose sort du premier niveau de niveau de l’histoire/ la diegese.). Tout ce qui est hors niveau est extra-diegetique ou une extra-diegese. On sort de l’intrigue. Le fantastique est fondé sur la metalepse qui passe de la réalité à l’univers de la réprésentation.
Le rôle de l’incipit et de donner un cadre et ici il est dejà marqué par la métalepse. Voire les moustache de plexiglas dans l’affaire tournesol. Le signe est signal « il alarmait », il exede les limites du roman réaliste. Une certaines force de la brutalité du signifiant Yatagan s’en ressort attaché à moustaches. Il y a une évidence du genre masculin dans le coté viril. Le signe porte un genre arbitraire. Le stéréotype du masculin est present ici. Le trop plein s’interprete comme un manque. Un plein renvoie à un vide. Il en font trop. Les