commentaire littéraire jean echenoz
En effet Jean Echenoz compare d’abord les «autres» coureurs de façon très méliorative, il emploie d’ailleurs un champs lexical de l’élégance: «il y a des coureurs qui ont l’air de voler» comme les oiseaux, «d’autres qui ont l’air de danser», «d’autres paraissent défiler» tel des mannequins il dit aussi que «certain semblent avancer comme assis sur leurs jambes». Cela signifie que lorsque l’on regarde «les autres» courir ça a l’air simple. Contrairement à Emile qui ne fait «rien de tout cela», Jean Echenoz dit que lorsqu’il court il est «loin des canons académiques et de tout soucis d’élégance» car effectivement «sa tête dodeline sans cesse, brinquebale et ballote de droite à gauche» et fait «n’importe quoi de ses bras», il …afficher plus de contenu…
Cela prouve donc que Emile emploie un style de course éprouvant comparé au style de courses des «autres». Effectivement dès le début du texte, l’auteur nous dit «à se demander comment il se débrouille», ce qui prouve que personne n’arrive à comprendre comment Emile fait pour gagner avec un «style» de course aussi différent que celui des «autres» coureurs, même Larry Snyder, l’un des plus grand entraîneur d’athlétisme n’y comprend rien.Les «autres» disent que Emile «ne fait rien comme les autres» et il «fait n’importe quoi» ce qui le différencie des «autres» encore une fois.Pour finir, Emile est un personnage courageux qui