E Criture Urbaine
DG1B
Ecriture urbaine
L’écritures urbaines n’est pas un mouvement réçent contrairerement à ce que l’on pourrait penser. Ce mouvement remonte aux temps anciens et notamment à Pompéi où de nombreuses illustrations sur pierre ont été éffectué. En effet, à Pompéi, les murs portaient de nombreuses mentions écrites dans le but de s’exprimer librement sur tout les sujets possible. On peut remarque aussi, que ces écritures sont visibles à Athènes à L’agora et dans la Vallée des rois en Egypte. Ces inscriptions étaient présentes partout dans le monde et parfois prenaient une valeur historique significative, transmettant des messages politiques, religieux, sexuels ou personnels.
En France, c’est au début du XXème siècle, que cette nouvelle vague d’artistes fait surface : grapheurs, taggeurs, affichistes, pochoiristes dont les premiers furent Ernest Pignon-Ernest et Jérôme Mesnager. Le concept est de montrer que l’art mural est «in sito»; il devient impossible de déplacer une oeuvre de nature urbaine. Ernest se fera connaître avec ses affiches de sérigraphies très engagées.
Pendant ce temps aux Etats-Unis, en Pensylvannie plus précisément on peut voir apparaître les premier
«writers» (Condbread & Cool Earl) qui attirent l’attention en inscrivant leurs noms partout dans la ville.
Toutes ces formes d’expressions ont pour but de faire passer un message et d’interpeler l’opinion public.
On peut s’aperçevoir par la même occasion que ce moyen d’expression a pour but de laisser un trace de son passage tel les hommes préhistoriques, ce qui montre bien que ce mouvement existe depuis très longtemps.
Dans les années 70, l’écriture urbaine prend une nouvelle dimension avec le travail de Jenny Holzer (artiste américaine). Elle travaille avec les mots de façon minimaliste ou monumentale. Les contenus de ces mots peuvent être des poèmes, des récits écrit par l’artiste, des texte politiques, des slogans ou encore des jeux de mots. Elle s’est toujours confrontée au langage,