E système fiscal et monétaire, les acteurs et les enjeux économiques à rome en 14 14:
La fiscalité en 14 peut être découpée en 2 types d’impôts : L’ impôt indirect : le tributum (tribut) qui ne frappait qu’uniquement les provinces, à l’exception des cités ayant obtenu le même traitement que l’Italie. Il servait d’abord à l’entretient des armées . Les impôts directs était composés de l’impôt sur les affranchissement (qui fut remanié par Auguste), de l’impôt sur les successions (qui fut créé par Auguste), un impôt aux frontières de la Gaule (le quarantième des Gaules, créé par Auguste), des droits et taxes sur les ventes aux enchères, ventes d’esclaves et la transhumance (qui n’ont pas été remaniés).
Ceux-ci étaient cependant légers et constituaient d’abord le moyen de remplir les caisses publiques (et celles de l’empereur), notamment les caisse militaires (seulement pour l’impôt indirect qui avait néanmoins un certaine importance).
Concernant la monnaie en 14, il faut noter que l’intervention économique de l’empereur se fit essentiellement par le biais de celle-ci. Auguste en modifia le système qui demeura jusqu’à Néron. On peut en distinguer 3 grands types :
Une pièce d’or, l’aureus, valait 25