Au courant de la première session en philosophie, notre professeur nous a appris, en utilisant de multiples textes, à clarifier la signification d’une idée. En effet, en faisant des liens entre les théories émient par les plus grands philosophes tels que Socrate et Platon et la vie sociale de nos jours, nous avons clarifier la représentation d’une idée avec un très grande facilité. De plus, nous avons appris ce qu’était le jeu philosophique, ce qui transforme notre regard sur le monde actuel où il favorise l’attitude rationnelle qui modifie nos représentations personnelles. Ce qui m’amène à vous dire que tout au long de la session, j’ai beaucoup apprit et dans ce texte je ferai, en quelque sorte, une synthèse de mon apprentissage. Premièrement, comme mentionné auparavant, nous avons lus beaucoup de texte provenant de plusieurs grands philosophes. Mais pour moi, lui qui a le plus attiré mon attention tout au long de la session est Menon ou de la vertu. Pourquoi? Parce que ce texte m’a grandement aidé dans ma compréhension du jeu philosophique. Lorsqu’il pose ses questions à Menon pour savoir s’il est capable de donner une bonne définition au concept de vertu, on voit clairement qu’il tente de faire voir à Menon que sa définition est mauvaise car elle est trop précise. Il lui demande donc de généraliser sa définition. Ce texte m’a donc beaucoup aidé à comprendre les concepts de déduction et d’induction, et le fait de généralité et de précision dans le jeu philosophique. Maintenant, je vous présenterai une situation actuelle qui suscite un débat d’ordre social. Ce débat est de savoir à quel niveau le gouvernement fédéral doit intervenir dans le financement du nouvel amphithéâtre à Québec. Les enjeux sont bien claires : le maire Régis Labeaume désir avoir l’appui du gouvernement fédéral pour financer le projet, mais Harper est réticent à cette idée. Déjà que Charest s’est engagé à 45% Régis en voudrait autant de la part des