J.O de Sotchi.
Article 1 : Le titre de cet article est « Sotchi, avant et après les chantiers pharaoniques des JO » tiré du journal Le Monde, publié le 07/02/2014, les auteurs de cet article sont Elvire Camus et Gabriel Coutagne. Article 2 : Le titre de ce second article est « Sotchi s'interroge sur son avenir post-Olympique » tiré du magazine Les Echos, publié le 24/02/2014 par Benjamin Quenelle.
I) Synthèse des deux articles
Pour commencer, dans le premier article on nous parle des enjeux économiques et environnementaux de la ville de Sotchi lors de la construction des infrastructures sportives, hôtelières et de transports impactant les zones côtièreres et montagnardes du pays. Comme le souligne cet article, les Jeux Olympiques de Sotchi avaient pour but de se dérouler en harmonie avec la nature, sans déchets avec une influence sur le climat minimale. Les OGN critiquent fortement ce complexe olympique, qui selon eux, causerait des dégâts irréversibles et serait la compétition olympique la plus polluante de l’histoire. L’enceinte du parc national de Sotchi abrite une faune et une flore très diverses, couvrant un espace de 2000 kilomètres carrés. Lorsque Sotchi a remporté les Jeux d’hiver, toutes les lois sur la protection de ses espaces naturels furent amendées, et la construction de ces infrastructures, jusqu’alors interdite dans ces espaces protégés, virent le jour. Greenpeace et le WWF participèrent à l’encadrement de ces installations pour faire en sorte que les constructions préservent aux mieux l’environnement, mais n’étant nullement écoutés et ne pouvant rien faire, ils décidèrent de se retirer du comité d’organisation en 2010. La station de ski Krasnaya Polyana a été transformée pour accueillir de nouvelles infrastructures sportives mais la construction des pistes de sport de glisse a engendré la destruction de plusieurs kilomètres de forêt, ce qui a repoussé l'ours brun de sa région. Les complexes situés au bord de la mer