En commençant ce projet, nous n’avions pas beaucoup d’information sur l’alphabétisation au Québec. Alors, nous avons commencé à faire des recherches à ce sujet et nous avons appris des statistiques assez surprenantes, par exemple, que 49% des québécois ont de graves difficultés en lecture. Nous pensions alors que ces faits susciteront l’intérêt de nos camarades. De plus, nous voulions leur sensibiliser au fait que la lecture et l’écriture, malgré qu’ils soient parfaitement maitrisées dans leur cas, ne l’est pas pour une grande partie de la société dans laquelle on vit. Finalement, nous avons choisi ce sujet puisqu’il est peu commun. Lorsqu’on pense à une cause, l’alphabétisation n’est habituellement pas ce qui nous vient en tête, alors nous voulions démontrer son importance et conscientiser les gens à cette cause.
Ensuite, nous avons commencé à rédiger nos propres slogans en lien avec l’alphabétisation. Nous voulions axer ces derniers davantage sur la lecture que l’écriture, malgré que l’alphabétisation soit en lien avec ces deux aspects. La raison étant qu’on apprend (habituellement) à lire avant d’écrire. Le premier slogan que nous avons créé est : « La capacité de lire, le plus grand des petits cadeaux ». Ce slogan utilise une antithèse, qui consiste à mettre deux mots qui désignent des réalités opposées, soit « le plus grand des petits cadeaux ». Nous avons bien aimé ce slogan, parce qu’on le trouvait commercial. Par contre, il n’y avait pas du public cible défini et il y manquait un aspect alarmant pour pouvoir sensibiliser les gens à notre