Vivre en société signifie se conformer aux différentes lois et règles. Un gouvernement tend à renforcer ses lois pour assurer une cohésion de la société. L’être humain dans un contexte de société ne peut faire ce qu’il veut. L’encadrement faite par les institutions politiques peut souvent poser problème. Une question apparaît inévitablement : être libre, est ce que c’est faire ce que l’on veut? Certains appuient cette déclaration, considérant que l’être humain est maître de ses choix et ses désirs. Aucune personne n’a de droit supérieur sur l’être humain et de base pour « moraliser » les actes de ce dernier. À l’envers du décor, une trop grande liberté n’est point différente d’une absence de liberté. Les humains ayant une soif de conquête justifient cette liberté mais brime en même temps, sur la liberté des autres. Les idéologies de Freud et Sartre constituent des sources non-négligeables dans l’étude de cette problématique. Une définition de concept et bien entendu un regard sur les contraintes (volonté, action) s’ajoutent à la dissertation.
La liberté est caractérisée par la possibilité d'agir sans prédétermination de ses actes. Ce qui signifie notamment pouvoir éviter tout conditionnement préalable. Toutes contraintes s’avèrent inexistantes (loi, valeur, déterminisme biologique). Un être marqué par le libre-arbitre se donne la capacité de faire des choix.
Pour Freud, l’être humain n’est pas libre en soi, il n’est pas maître de ses actes. Le vouloir des individus est influencé par l’inconscient. L’inconscient est le domaine de la pensée qui n’est pas conscient. Le psychisme humain n’est pas toujours conscient. En effet, les activités quotidiennes, les idéologies sont souvent sans origine. Ainsi, l’individu croit qu’il réfléchit et qu’il prend une décision même si ce n’est pas le cas. Le premier déterminisme de l’homme est les pulsions. L’être humain, qui voudrait faire par exemple du parachutisme, reviendra souvent sur sa décision car la pulsion