Amour : un mirage selon Arthur Schopenhauer qui pense que c’est la nature qui nous pousse à nous reproduire pour perpétuer l’espèce et donc on pense choisir soi-même l’élu de notre cœur mais on ne fait qu’obéir à un instinct dicté par la nature pour trouver une partenaire qui serait apte à avoir des enfants , une simple créature de reproduction. Finalement d’après ce philosophe quelque peu pessimiste, on n’aime pas l’autre pour ce qu’il est mais parce qu’il est un objet qui nous permet de nous reproduire.
Nous savons tous que l ’homme est naturellement égoïste, ce fameux et fichu reflexe de survie , celui de vouloir se protéger pour rester en vie. Il pense donc à lui avant les autres. ce constat s'étend malheureusement à l’amour. L’autre sert de refuge pour qu’on sente moins seul, pour qu’on se sente protégé, pour des raisons financières, pour sauver un honneur familial, par tradition, etc. L'amour le vrai n'existe plus ? A t-il un jour existé ?
Cette citation de Jean Vallée émane de vérité et me " réconforte" dans les idées et arguments que j'avance si dessus : « Mais quelle que soit celle qu’on étreigne, on n’étreint jamais que soi-même » : on cherche plutôt à être pris dans les bras de l’être aimé plutôt qu’à le prendre dans ses bras. Qui pourra me dire le contraire ? Qui ne sens pas mieux quand il est pris que quand il prend ..
Avec le temps, l’usure et la routine s’installent et ce n'est surement pas les citation qui nous diront le contraire. On parle de l'amour comme se déroulant pas étape on dit de lui qu'il ne dure pas, qu'il est d'abord amour-passion pour devenir amour maternel et que le feu de cette amour s'éteind petit à petit mais cette peur de la perte de stabilité, cette peur de briser une famille, des enfants et surtout cette peur de se retrouver seul, nous pousse a jouer cette comédie de ce beau couple heureux.
Chaque individu a ses centres d’intérêt et lorsqu’on est en couple, tout change il faut concilier, revoir ses priorités. Au début