L'avenir de l'univers
Conte caustique mais néanmoins non dénué d’optimisme
L’année de travaux sur le temps nous a permis d’approcher ce monumental mystère.
Des analyses des questions des pistes ont été mises à la disposition de chacun de nous par des planches étayées de recherches soit philosophiques théologiques ou scientifiques, chacun aura fouillé le sujet dans tous les sens, aussi ma planche se voudrait la synthèse de ma réflexion sur cette cession 2009/2010 Je distingue deux étapes dans l’observation de l’univers,
Une période anthropocentrique, fondée sur l’acquisition de l’expérience
Une période d’exploration rationaliste fondée sur la recherche déterminée.
Pour ce qui est de l’anthropocentrisme, l’homme a pour prédilection le sentiment de partager le règne glorieux de la vie avec la seconde entité crée par le grand architecte : l’univers
Il ( l’homme ) après l’avoir craint ( l’univers ) et afin de s’en protéger créa nombres de divinités destinées à asseoir sa sécurité de terrien et à asservir l’univers à sa réussite humaine, une idole pour la pluie une pour le beau temps etc. etc. . Il décréta que le centre de l’univers était la terre, que le centre de la terre se trouvait en chaque homme. Seuls quelques curieux se posaient des questions, d’où vient l’univers ? Où va-t-il ? Il était trop tôt pour y répondre ou alors par le biais de DIEU créateur du ciel et de la terre, ce qui repoussait à plus tard les vraies questions. L’univers poursuivait son petit bonhomme de chemin, l’homme découvrait et expliquait tant de choses que c’est pour DIEU qu’il finissait par se prendre, et malgré son génie, son enrichissement intellectuel, son acharnement à comprendre, il ne pouvait, voire il ne peut s’empêcher de s’édifier des statues de se couvrir de lauriers.
L’univers poursuivait son petit bonhomme de chemin. L’homme ne s’en souciait pas encore, il n’en était qu’à structurer méthodiquement son cerveau subjuguant tout acte à la réflexion.
Puis des