L'ecole des femmes
ACTE V, Scène IV
Une scène comique ou pathétique :
Introduction :
L’école des femmes, est une comédie de Molière en cinq actes, et elle est jouée en 1662. La pièce reçoit un grand succès mais aussi plein de critiques, notamment pour son immoralité. C’est une scène qui est à la base pathétique mais qui va très rapidement tourner au comique. Nous allons d’abord voir le cote pathétique de cette scène et ensuite son cote comique. Cette scène est-elle vraiment une scène pathétique ?
1) Une scène pathétique :
Arnolphe essaye de susciter la pitié chez le spectateur mais il ne trouve pas les mots approprié. De plus il essaye de séduire Agnès mais n’utilise pas des mots romantiques : il obtient l’effet contraire et se ridiculise…
On peut le voir tout au long du texte :
A la ligne 118 : « C’est quelque sort qu’il faut qu’il ait jeté sur moi » il utilise une hyperbole pour essayer de la séduire. Mais en vain
A la ligne 122 : « Sans cesse, nuit et jour, je te caresserai »
A la ligne 130 : « Veut tu que je m’arrache un cote de cheveux ? » il renonce et essaye une dernière fois de provoquer sa pitié mais en vain.
Il utilise aussi le présent d’énonciation tout au long du texte pour animer le texte et le rendre plus vivant, de plus il veut faire sentir au spectateur et eu lecteur que ses paroles sont sincères.
A la ligne 110 il lui dit : « aimez-moi » il utilise un impératif présent, mais on ne peut pas ordonner une personne à nous aimer, ce qui rend le discours encors plus pathetique.
De plus Arnolphe traite les femmes de tous les noms « infidèles - fragile- imparfaites-animale-indiscrètes-imbécile ». Apres toutes ces insultes, il lui dit qu’elle devrait l’aimer et quitter Horace et tout l’amour et le respect qu’il lui donne.
Ensuite Arnolphe se dit un être généreux en la pardonnant et en lui réaccordant sa tendresse. Il lui demande alors son amour.
2) Une scène comique
Alphonse utilise tous au long de la scène des