L'express de james goldsmith[modifier]
Jean-François Revel prend alors la direction de L'Express avec Olivier Todd comme rédacteur en chef. Et Raymond Aron rejoint la rédaction comme éditorialiste puis président du comité éditorial. L'Express est à l'origine de la révélation du STO volontaire de Georges Marchais qui fit scandale avant la présidentielle de 1981. Mais une couverture jugée défavorable au président Valéry Giscard d'Estaing entraîne le renvoi de Todd par le propriétaire Jimmy Goldsmith. Par solidarité, Jean-François Revel démissionne. Le journal change alors d'orientation éditoriale pour se positionner clairement à droite au début des années 1980.[réf. souhaitée]
Les locaux de L'Express, au 29 rue de Chateaudun, à Paris.
En 1987, Jimmy Goldsmith cède ses parts à la Compagnie générale d'électricité (CGE) qui devient propriétaire du journal et de ses différents titres. En 1992, Françoise Sampermans est nommée PDG du groupe qui rachète 40 % du capital de son concurrent, Le Point.
Le 21 septembre 1994, Christine Ockrent arrive à la tête de la rédaction4, et L'Express change de format et de formule, avec de nouveaux rubriquages et des mini-sommaires en tête de rubriques. L'Express passe, en 1995, dans le pôle média de la Compagnie européenne de publications (CEP), et de la société Occidentale Medias, filiale du groupe Havas.
Le 26 mars 1996, Denis Jeambar, ex-journaliste au Point, devient directeur de la rédaction de L'Express5, puis président du directoire du groupe L'Express-L'Expansion en 2001. Jacques Attali et André Glucksmann deviennent éditorialistes.
L'Express change plusieurs fois d'actionnaires, passant de Vivendi