Les textes du corpus étudié parlent tous des différents pouvoirs des rois. Par exemple dans L’Utopie de Tomas More écrit au 16ème siècle, a la même époque, Gargantua de Rabelais et enfin la lettre a louis XIV du 17ème siècle écrite par Fénelon. Ces trois textes traitent des politiques expansionnistes des souverains qui sont critiqué par les acteurs eux même. Nous pourrions donc nous demander si les acteurs s’y prennent de la même façon ?

Tout d’abord, nous pouvons noté qu’il y a deux genres différents, le premier et le deuxième texte sont des romans alors que le dernier texte est une lettre. Ce dernier écrit par l’auteur même qui dénonce de mauvaises pratiques, destiner a Mme de Maintenon et Louis XIV, tous deux des personnages réels de l’époque. Quand a lui, Tomas More écrit un dialogue entre lui et un autre personnage fictif, a qui il raconte son désir imaginaire d‘être le roi. Nous voyons là un mélange entre la réalité et la fiction plutôt originale. Le deuxième texte est lui aussi un dialogue mais cette fois ci, entre des personnages totalement fictifs qui convergent sur des ambitions improbables.

Ensuite, dans L’Utopie un système d’hypothèse nous montre le constat virtuel de la situation, que nous remarquons a chaque début de paragraphe « imaginer que » L1 ou encore « si je montrais que .. » L9. Nous pouvons voir au contraire dans La lettre a louis XIV un constat de la réalité gravissime du royaume visible grace au champ lexical de la ruine et de la misère « meurent de faim » L2; « détruit » L4; « pauvre » L6. Dans ces deux textes nous voyons un système d’opposition entre une accumulation des défauts, les inconvénients des conquêtes et une accumulation des conseils a suivre pour être un bon roi envers son peuple. « que le roi s’attache » L12; « qu’il l’embellisse » L13; « qu’il aime son peuple » L14 dans L’Utopie ou « au lieu de »,« il faudrait » L6; « si le roi » L19 dans la lettre a Louis XIV. Nous observons quand même une légère