L’homme à l’envers
De Fred Vargas
Première publication : 1999
Edition : J’ai lu
Sur la première de couverture, on peut voir un œil de loup.

Présenter l’œuvre :
Fred Vargas, de son vrai nom Frédérique Audoin-Rouzeau est un écrivain de romans de policiers.
Dans le massif du Mercantour, des brebis sont égorgées. Elles semblent avoir été attaquées par un loup d'une très grande taille qui les a sauvagement tuées, sans les manger. Cela se passe dans plusieurs villages. Les bergers décident d’organiser une battue générale pour retrouver le grand loup. Mais un jour, à Saint-Victor, une éleveuse, Suzanne Rosselin, est retrouvée égorgée. Dans le massif, on parle alors de loup garou et non plus de loup. Les villageois de Saint-Victor suspectent Massart, un homme très discret habitant à l’écart du village et qui travaille à l’abattoir. Le fils adoptif de Suzanne, le veilleux (celui qui garde les brebis) et Camille se lance à la poursuite de Massart qui a subitement et bizarrement disparu. Mais en vain, cela ne donne rien et Camille appelle Jean-Baptiste Adamsberg, une ancienne relation et un commissaire de police très réputé. La piste se poursuit par beaucoup de brebis égorgées et d’autres personnes tuées. Enfin, après avoir échappé à la mort par deux fois, Adamsberg se rend compte que ce n’est ni un grand loup, ni un loup garou mais le copain de Camille, Lawrence, un canadien qui « étudie les loups du Mercantour », qui tue par vengeance à l’aide d’une mâchoire de loup.
Le mode de narration est à la troisième personne du singulier. Le narrateur n’est pas présent dans l’histoire et le point de vue est omniscient.
Jean-Baptiste Adamsberg : C’est un commissaire de police très réputé qui travaille à Paris. Il est rêveur, dans la lune et peut parfois paraitre distrait. Malgré sa grande intuition et le fait qu’il ne soit pas organisé, il arrive toujours à des succès dans ses affaires au grand étonnement de Danglard, son adjoint, qui lui est tout le contraire.
Camille :