L'implicite dans un roman
De ce fait il reste important de se demander alors si dans « Le rapport de Brodeck » de Philippe Claudel ou dans les romans en général, l’imprécision volontaire ou l’implicite soient des choix judicieux de la part de l’auteur. « Est-ce une bonne idée? », « Quels sont les intérêts d’un auteur à procéder à ce style d’écriture? », « Que peuvent apporter des sous-entendu? » Mais nous allons aussi peser le contre comme « En quoi un récit construit sur l’implicite peut déplaire à un lecteur? ».Toutes ces questions seront précisément traitées dans cette dissertation.
Nous répondrons à cette problématique de cette manière, certes on peut penser que tout roman se doit précis et si ressemblances avec des faits il y a, explicite. Pourtant on peut noter qu’une lecture de ce type de roman captivera plus le lecteur, donc nous pouvons affirmer que des imprécisions volontaires ou implicites apportent plus d’intérêts à un roman.
Définition de deux termes importants:
« Implicite » qui signifie quelque chose contenu dans une expression, dans un fait sans être exprimé directement; sous entendu.
« Imprécision volontaire d’un auteur » qui signifie un manque de précision dans un roman voulu par l’auteur.
« Le rapport de Brodeck » est un roman construit sur l’implicite et des imprécisions volontaire.
Dans un roman, des imprécisions excessives peuvent nuire aux lecteurs et en faire un choix défavorable pour une bonne lecture du roman, il se peut et bien souvent que trop d’imprécisions portent un effet négatif