L'école des femmes lettre acte 3 scene4
461 mots
2 pages
D’après la lettre a la page 96-97, dans l’œuvre de Molière, dramaturge du 17eme siècle : L’école des femmes, comédie théâtrale. Les serviteurs d’Arnolphe lui ont refusé une nouvelle visite, Agnès l’a renvoyé en lui lançant une pierre avec un mot d’amour qu’Horace lit à Arnolphe. Nous constatons deux grands thèmes qui se détachent des autres : l’amour et la réflexion d’Agnès. Nous allons voir si cette lettre est une lettre d’amour ou de réflexion. Pour commencer prenons la lettre du point de vue de l’amour d’Agnès pour Horace. Des les premiers vers de la lettre, Agnès dévoile implicitement ces sentiments pour Horace bien qu’elle ne sache pas ce que l’amour signifie « je ne sais ce que vous m’avais fait ; mais je sens que je suis fâchée à mourir de ce qu’on me fait faire contre vous, que j’aurais toutes les peines du monde à me passer de vous, que je serais bien aise d’être à vous. » Ensuite elle va s’adonner a ces sentiments, « J’aurais toutes les peines du monde à me passer de vous, et que je serais bien aise d’être a vous. » L’ignorance d’Agnès montre la vraisemblance de ces sentiments pour Horace ce qui met Arnolphe de plus en plus en colère « Hon !chienne ! » et en contre partie Horace joyeux, Horace crois partager sa joie avec Arnolphe, ce qui donne un comique de situation durant la lecture des sentiments d’Agnès. Puis elle tourne autour du pot « Je veux vous écrire, …et je me défie de mes paroles. » Ce comportement ressemble à celui d’une jeune fille qui n’oserait dévoiler ces sentiments. Apres avoir dit ce qu’elle ressent, Agnès, va le « menacer » sur les vérités apprises avec Arnolphe, sur le faite que « les jeunes hommes sont des trompeurs qu’il ne les faut point écouter, et tout ce que vous me dites n’est que pour m’abuser. » Elle le « menace » en lui disant « Vous auriez le plus grand tord du monde si vous me trompiez. » Sa lettre comporte plusieurs éléments révélant son amour : la manière dont elle commence sa lettre, la révélation de ces