l'avênement de la science moderne en occident
Les vrais sujets sont des prototypes oubliés mais vers lesquels on tend indéfiniment à remonter.
Les êtres humains ne sont pas des sujets pleins qui disposent en eux du principe de leur existence. E sont des êtres qui vivent par procuration d’autre chose. Les êtres ne sont que des expressions d’images…
Les hommes peuvent connaître en remontant au prototype.
La caractéristique la plus forte de cette ontologie est que ce qui compte est toujours au-delà, invisible. Ce qui est visible n’est que l’expression, l’image d’une réalité transcendantale. Les hommes vivent dans une sorte de rêve éveillé et le monde des prototypes est une sorte de monde inaccessible.
Relation entre le microcosme et le macrocosme. Le monde est un homme en grand et l’homme un monde en petit. Un univers organisé selon l’analogie repose sur le principe du continu entre le vivant, principe interne qui à la fois les différencie mais aussi les intègre.
Le monde est un tout reposant sur un principe unique indéfiniment décliné, exprimé dans un déploiement infini d’êtres tous différents les uns des autres et en même se composent pour se ranger en espèce en genre et dans un tout…
Les êtres individuels n’ont pas d’autre identité que leur place et leur rôle dans la chaîne dans laquelle ils proviennent. L’homme n’est qu’un moment, une place dans une suite, un saut, un seuil, c’est en cela qu’il a une pleine individualité. Ce n’est pas un point.
Difficulté ontologique : les êtres individuels n’ont pas d’autre identité que leur place et leur rôle dans la chaîne des êtres dont ils proviennent. L’être n’est qu’une fonction dans une suite. Il existe comme une différence. Son individualité le range dans une suite.
L’individu est régit par un exposant, par une raison…
Sage grecque = suivre l'ordre du cosmos
Cf ION, Phèdre
La diversité des lignées est régit par des principes logiques qui sont explosés par Aristote dans le Traité des parties de la nature explique que la diversité des lignées